Désencombrer sa cuisine : spécial ménage de printemps

Bonjour tout le monde,

On se retrouve aujourd’hui pour le deuxième article consacré au ménage de printemps dans la cuisine. Si la dernière fois, je me suis exclusivement penchée sur l’alimentation, aujourd’hui, je m’occupe de tout le reste. Ambitieux ? Pas tant que ça, je vous donne toute une série de pistes et de conseils pour se lancer. À vous de vous concocter votre petit programme.

Avant de se lancer dans le sujet du jour, je vous donne des nouvelles de mes placards et de mon congélateur. Concernant ma liste de produits à terminer dans mes placards, je suis à presque 50 % de mon premier objectif, à savoir 30 produits à terminer. C’est un peu long mais les aliments présents sur cette liste ne se terminent pas en un jour, il s’agit d’épices, de sel aromatisé, de thés, de sucres, etc. En un mois, c’est déjà une bonne avancée.
Pour le congélateur, j’ai terminé 28 produits, plus que 2 pour atteindre mon objectif, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut se reposer sur ses lauriers. Dès que j’aurai atteint mon objectif, je me refais une liste. Je pense que c’est une bonne habitude d’avoir toujours une liste papier avec les produits à consommer en priorité. Cela permet de maintenir une certaine discipline et de ne pas se laisser dépasser…

Pour préparer le nettoyage de printemps de ma cuisine, je suis allée chercher des idées et des conseils. Comme pour les recettes de cuisines, on a parfois besoin d’inspiration, même pour faire le ménage. Il ne sert à rien de se lancer bille en tête sans réflexion et plan d’action. Gesticuler, frotter à droite à gauche et se fatiguer pour un résultat médiocre, non merci !! J’ai lu des articles et j’ai visionné des vidéos sur Youtube (on y trouve vraiment de tout, c’est hallucinant !). Le désencombrement et le minimalisme sont des sujets très à la mode et il y a vraiment beaucoup de vidéos mais finalement le discours est toujours plus ou moins le même. La plupart de ces vidéos s’adresse à des personnes qui cuisinent peut-être au quotidien plus par nécessité que par passion et qui n’ont donc pas les mêmes besoins et les mêmes exigences que des cuisinières plus chevronnées ou des bloggeuses.
Personnellement, je ne vise pas au minimalisme dans ma cuisine car ce n’est pas conciliable avec ma façon de cuisiner et de blogger. Mais il y a tout un monde entre avoir une cuisine tellement encombrée qu’elle en devient impraticable et des placards aux trois quarts vides dans une cuisine qui a la convivialité d’un laboratoire. Car oui, la cuisine est une pièce de vie et il faut trouver le juste équilibre entre sa fonction principale, préparer les repas et donc respecter des conditions d’hygiène et ses autres fonctions : manger, passer (je viens chercher un truc à grignoter dans le frigo ou un placard), se réunir, discuter…

Ustensiles et vaisselles
Attaquons-nous tout de suite au gros morceau : les ustensiles de cuisine (et petits électroménagers) et la vaisselle. C’est souvent dans la cuisine que l’on stocke ces deux catégories d’objets.
J’appelle ustensiles de cuisine tout ce qui sert à préparer des repas, ça commence au couteau d’office pour aller jusqu’à la marmite. Pour vous faciliter la tâche et pour ne pas y passer des heures et des heures sur une seule journée, ce qui peut être démoralisant ou lassant, je vous conseille de commencer par un tiroir ou un placard pas trop grand. Même si vous n’y passez qu’un quart d’heure, le plus important est de mettre le pied à l’étrier. Cela peut très vite devenir un jeu. J’ai un quart d’heure devant moi, allez hop un petit tiroir à vider, nettoyer, trier et ranger. Si le désordre est contagieux, l’ordre aussi quand on commence à avoir quelques tiroirs et placards bien rangés, on a envie de mettre tout le reste au diapason.
Voilà, votre tiroir est vidé, nettoyez-le : un coup d’aspirateur, un coup de chiffon humide et il a déjà meilleure mine. Passons à son contenu, déposez chaque objet sur votre plan de travail ou votre table.
Personnellement, je travaille par passage. Le premier passage, c’est celui du sac poubelle : objets cassés, abimés, détritus. Bref, pas de pitié, à la poubelle !
Deuxième passage : je donne, je vends. Prenez tous les objets encore en bon état mais qui ne vous servent plus ou que vous n’aimez plus et offrez-leur une seconde vie, ils le méritent.
Troisième passage : cherchez les intrus ! Oui, oui, tous ces objets qui ont atterri dans un tiroir ou un placard comme par magie (encore un coup du chat sans doute ^^) mais qui n’ont rien à faire là. Mettez-les dans un carton pour les ranger à leur bonne place après vous être occupés de votre tiroir. Il faut rester focalisé sur son objectif premier et ne pas se laisser distraire.
Normalement, il ne reste plus sur votre plan de travail que des objets dont vous avez l’utilité, qui fonctionnent et qui sont à leur place. Rangez-les ! Peut-être, allez-vous vous rendre compte que votre façon de ranger n’est pas optimale ou qu’il vous manque un accessoire de rangement (bacs, boîtes…), ne vous précipitez pas sur internet pour commander tout et n’importe quoi. Prenez les mesures de votre espace de rangement et notez les dans un carnet. La solution de rangement idéale pourra être trouvé plus tard, il faut parfois du temps pour que tout cela décanter et la nuit porte conseil.

En tant que cuisinière et maîtresse de maison, c’est à vous décider ce que vous souhaitez garder en fonction de votre façon de cuisiner et de recevoir. Par exemple, j’ai des ustensiles en double voire en triple comme des maryses car je cuisine de telle sorte que j’ai besoin d’avoir certains ustensiles en double pour les utiliser simultanément ou parce que je cuisine plusieurs plats à la suite et que je ne vais pas m’interrompre pour nettoyer un ustensile dont j’ai besoin alors que je suis peut-être au moment le plus délicat d’une recette.
Il ne faut pas suivre n’importe quel conseil mais se l’approprier seulement si on le trouve pertinent.
Cependant, portez une attention particulière aux couteaux et aux ciseaux, il n’y a rien de plus horripilant en cuisine que d’avoir des ustensiles qui coupent mal.
Poêles, casseroles, marmites sont souvent en surnombre dans nos cuisines car on garde une poêle pour une obscure raison alors qu’on a acheté sa remplaçante… Ici ce n’est pas seulement une question d’encombrement, cela peut être dangereux pour vous et votre famille de cuisiner avec des ustensiles dont le revêtement est abimé, il faut être vigilant.

La question des moules à gâteaux et des emporte-pièces est épineuse, surtout pour les pâtissières. Là encore, attention à la dangerosité de certains matériaux abimés et à la surpopulation, inutile d’avoir quatre moules à tarte du même diamètre. C’est assez rare d’avoir besoin d’autant ou alors passez en professionnel ^^
Concernant, les emporte-pièces, vous pouvez les classer par thème (Noël, fleurs, formes géométriques) dans des boîtes pour éviter d’avoir tout en vrac dans des tiroirs. Peut-être pouvez-vous ranger la boîte consacrée à Noël ailleurs et la ressortir chaque début novembre et la ranger début janvier (quand vous ferez votre prochain grand nettoyage). Normalement on n’a pas besoin de faire des biscuits en forme de rennes en plein mois de juillet…

L’autre catégorie d’ustensiles de cuisine à trier, c’est les moules à mignardises (madeleines, cannelés, mini-savarin, etc.). Il en existe tant que la tentation est parfois forte et on se laisse avoir en se disant qu’acheter la plaque de moules va déclencher un truc en nous et qu’on va préparer des madeleines ou des cannelés toutes les semaines. C’est promis, juré ! Sérieusement, vous y croyez encore alors que cela fait trois ans que ces fameux moules n’ont pas servi… Histoire vraie, je n’échappe pas à la règle, rassurez-vous !! À vous ne voir, si vous voulez les stocker ailleurs (si vous en avez la place) ou vous en débarrassez tout simplement.

Ce n’est pas facile et il y a là un vrai questionnement, une démarche personnelle à mener. Mais surtout, ne vous forcez pas, prenez tout votre temps. Vous n’avez aucun compte à rendre à personne. Désencombrer un espace (une cuisine ou autre) peut prendre plusieurs mois ou années chez certains, c’est un travail au long cours. Désencombrer ne doit pas être un crève-cœur mais une action libératrice ! Voilà le seul principe à ne pas oublier et à respecter à tout prix.
Adoptez la même méthode pour la vaisselle (du quotidien ou de réception) et pour le petit électro-ménager. N’oubliez pas de prendre en compte la fréquence d’utilisation pour déterminer l’utilité réelle de vos objets qu’ils soient minus ou costauds.
Petit à petit, les choses vont avancer au rythme que vous aurez choisi. Avant de passer à la catégorie suivante, je vous donne un dernier conseil qui va peut-être vous sembler contradictoire mais qui est très efficace, je le mets en pratique depuis des années : cultiver des nids à bazar dans votre maison ! Euh, mais ça ne va pas Marion, tu viens de nous dire l’inverse pendant 20 minutes et là vlan tu prônes le bazar !!
Je m’explique. Un nid à bazar est petit endroit parfaitement circonscrit dans lequel le bazar a droit de cité dans votre maison. Mais attention, il faut veiller au grain car sinon on est très vite envahi. Car oui, on ne peut pas avoir une maison parfaitement rangée à 100 %, 24h/24h. J’ai un tiroir dans ma cuisine, un porte-revue et un petit panier. Le mode de fonctionnement est simple. On y met les trucs qui sont en attente d’un rangement plus définitif ou qui sont en sursis mais attention, il faut s’astreindre en fonction du contenu à le vider de façon très régulière et ne pas attendre que ça déborde et contamine vos zones de rangement alentour. Par exemple, mon nid à bazar dans ma cuisine est vidé, trié et rangé tous les mois. On y trouve des objets à recoller, un paquet de mouchoirs, des piles à mettre au recyclage aux prochaines courses. Bref, c’est un fouillis sous contrôle. Le porte-revue est destiné aux catalogues de déco en cours et aux revues à trier, c’est l’antichambre du bac jaune en quelque sorte. Je le trie tous les trimestres. On peut imaginer également un panier dans lequel on met des objets que l’on n’a pas le temps de ranger tout de suite et le faire le soir avant d’aller se coucher, histoire de se lever dans une maison nickel, quelle joie et quelle satisfaction ! Chacun trouvera sa méthode en fonction de son caractère et de sa maison.

Les livres et les revues
Vos livres et vos revues de cuisine ne sont peut-être pas rangés dans votre cuisine mais ils appartiennent à cette sphère, c’est pour cela qu’ils ont toute leur place ici. Dans les vidéos sur le minimalisme, les personnes prônent souvent de se débarrasser des livres à 90 % et de ne plus acheter de revues et de magazines. Voilà, deux idées complétement inconcevables pour moi. Je suis une amoureuse des livres et je pense qu’une maison sans livres, c’est une maison sans âme !
Cependant, comme dans notre garde-robe ou notre déco, nos goûts, nos préoccupations et nos façons de cuisiner évoluent, il est donc normal de faire un tri dans notre bibliothèque culinaire. Bien sûr ce n’est pas un tri à faire tous les quatre matins. J’en ai réalisé un en début d’année et c’était le premier alors que cela fait plus de cinq ans que j’achète des livres de cuisine. Pour le moment, ils sont stockés au sous-sol dans un carton car je veux être sûr de ne pas faire d’erreur et je les vendrai surement dans une brocante.

Par exemple, j’avais au moins 6 références sur les speculoos (il fut une époque où j’étais passionnée par ce petit biscuit), je n’en ai gardé qu’une seule, celle qui se débarquait le plus à mon goût. Là encore, c’est une question de feeling et de fréquence d’utilisation, si certains livres ne correspondent plus du tout à votre cuisine et que vous ne les ouvrez plus depuis des années, vous pouvez vous en débarrasser.
Je trouve que faire le tri dans ses revues de cuisine est plus compliqué et plus facile à la fois. Il existe de très belles revues que l’on ne s’imagine pas jeter et pourtant on y revient jamais et d’autres que l’on achète juste parce qu’il y a une ou deux recettes qui nous plaisent.
Je suis une grande consommatrice de revues, j’adore les feuilleter, trouver des idées, être au courant de l’actualité de certaines marques, etc. Cependant, depuis un an, j’ai appris à me restreindre car beaucoup de revues que j’achetais avant me semblent désormais trop généralistes et ne correspondent plus à mes choix alimentaires. Je ne cherche plus seulement des recettes mais également des articles sur la nutrition ou sur certains produits ou régimes alimentaires. Je suis devenue plus exigeante tant pour les livres que pour les revues. J’ai mis en place un système de marque-page qui me permet de visualiser en un clin d’œil, les recettes qui m’intéressent et les infos que je veux retrouver rapidement. Cela m’aide pour préparer mes menus et pour savoir si je garde ou non une revue. En dessous d’un certain nombre de recettes à tester, je découpe les recettes et je me débarrasse du magazine. À chacun de voir mais par expérience, je sais que les revues que j’archivais par le passé car il y avait des recettes qui me semblaient intéressantes, je ne les ressortais jamais car j’oubliais tout simplement l’existence de la recette en question, preuve qu’elle n’était pas si extraordinaire que ça…

Les produits ménagers, consommables et zéro déchet
Loin des grands discours écolo et fumeux des politiques, c’est dans les cuisines de France et de Navarre (et du monde entier) que l’écologie du quotidien peut faire la différence. Je ne reviendrais pas sur le court-circuit, le manger local et de saison… On peut, en modifiant un peu nos habitudes, mettre en place de petits gestes pour notre planète. En nous interrogeant sur notre placard à produits ménagers par exemple. Faites le test, sortez tous vos produits ménagers et posez-les sur une table ! Personnellement, j’ai eu honte de la diversité de produits que j’avais chez moi. Surtout que lorsque l’on regarde bien, ils font tous plus ou moins la même chose : anticalcaire, dégraissant, désinfectant… Il y a moyen de réduire la liste en utilisant des produits plus polyvalents et plus naturels : savon de Marseille, vinaigre blanc, bicarbonate… Ce n’est pas facile de changer ses habitudes, j’en suis consciente car c’est un chemin que j’ai choisi d’emprunter. Je remplace au fur et à mesure mes produits habituels (toxiques pour la planète et pour les êtres vivants) par des produits plus propres et je m’essaie à la fabrication de mes propres produits, ce n’est si difficile que cela, c’est comme faire une recette de cuisine au final.
Après les produits ménagers, on peut aussi réfléchir aux consommables : film alimentaire, essuie-tout, sacs congélation, alu. Là encore, des alternatives plus écolo existent. Pour la congélation, optez pour boîtes hermétiques (en verre idéalement) ou des bocaux en verre. Pour le film alimentaire, j’utilise des couvercles en silicone. Ce n’est pas encore parfait, c’est du plastique mais au moins, c’est réutilisable. Il existe aussi maintenant des tissus enduits de cire d’abeille, les Bee Wraps qui s’utilisent pour emballer toutes sortes d’aliments que je compte bien tester.

Vous vous imaginez peut-être qu’une cuisine sans essuie-tout ce n’est pas possible ? Le supprimer du jour au lendemain, c’est dur alors pour faire la transition je vous propose de le ranger dans un placard de votre cuisine. Ne pas avoir le rouleau tout le temps sous les yeux permet déjà de bien réduire sa consommation (méthode éprouvée) et de redécouvrir l’utilité de vrais torchons 100 % coton. Il existe aussi des rouleaux d’essuie-tout en tissu réutilisables.
Bien sûr, on peut s’y mettre progressivement un pas après l’autre pour faire une transition en douceur pour toute la maisonnée. Avec ces petits gestes, vous n’allez pas réduire drastiquement vos déchets mais c’est déjà une prise de conscience importante.

Linge et déco
Parlons un peu linge : torchons, serviettes et chemins de tables, nappes. Comme les livres, le tri du linge n’est pas à faire tous les quatre matins. Une fois par an, c’est déjà pas mal ! Les nappes prennent pas mal de place dans les placards, un tri s’impose ! Débarrassez-vous des nappes qui ne sont pas adaptées aux dimensions de vos tables, donnez-les ou vendez-les. Pour les nappes qui sont à la bonne taille, assurez-vous qu’elle sont en bon état et qu’elles vous plaisent toujours. Si elles sont tachées, trouées, faites-en des chiffons, par exemple, ou mettez-les au recyclage. Je suis sûre que vous allez trouver des nappes qui ne sont plus d’actualité dans votre maison. Faites de même pour les serviettes, les sets et les chemins de tables. Ne gardez pas des pièces qui ne s’accordent pas entre elles.
J’ai un gros stock de torchons car j’en change quasiment tous les jours, ma pile tourne donc facilement mais si ce n’est pas votre cas, pensez à jeter un coup d’œil. Quand un torchon est trop usé pour la cuisine, il peut servir pour faire les carreaux, cirer des chaussures : il peut avoir une seconde carrière.

Enfin, abordons le dernier point de cet article : la déco ! Alors, bien sûr la déco c’est très sympa, il ne faut pas s’en priver si l’on aime ça. Je ne vais pas vous donner de conseil de déco, chacun ses goûts, mais la surabondance de déco peut créer une impression d’encombrement, notamment sur les plans de travail. Ils sont avant tout des espaces utilitaires, ils ne sont pas des lieux d’exposition de votre collection de théières ! Plus un plan de travail est dégagé plus il est facile d’entretien. De façon générale, évitez d’encombrer vos plans de travail même avec des objets utilitaires (petits robots, plateau, planche à découper). Plus un objet reste hors d’un placard, plus il faut le nettoyer souvent et plus vous perdez du temps.

Voilà, j’ai passé en revue tout l’univers de la cuisine, il me semble. Si j’ai oublié quelque chose, n’hésitez pas à compléter en commentaire. Tous les conseils et les pistes de réflexions que j’ai donnés ci-dessus, sont mis en pratique dans mon quotidien. Cet article est un véritable retour d’expérience. Je n’ai pas donné d’exemple pour chaque démarche car le développement est déjà assez long mais j’en ai à la pelle.
Ah oui, j’allais oublier un petit dernier conseil pour la route. Ce n’est pas parce que vous êtes passionnés de cuisine que vous devez accepter tout ce que votre entourage veut bien vous refourguer et qui a un vague rapport avec la cuisine. La générosité des gens est incroyable : un vieux moule à tarte qui vient de Mémé Agathe, des serviettes piquées, des assiettes ébréchées, un mixeur Moulinex antédiluvien, des collections de magazines de cuisine toutes moisies ! Vous n’êtes pas la déchèterie du coin, sachez dire non avec diplomatie si ce que l’on vous propose ne vous intéresse pas.
Pour conclure, je vous laisse avec une phrase à méditer : plus on réfléchit avant d’acheter, moins on achète et moins on a besoin de désencombrer !

Pour aller plus loin, je vous conseille trois chaines Youtube et un livre.
Je vous conseille la chaine d’Élodie Wery qui est une pro du désencombrement, c’est son métier. Ses conseils sont très pertinents mais surtout elle aborde l’encombrement de nos maisons d’une façon sociologique et sociétale ! Nous sommes dans une société de l’encombrement, elle nous explique pourquoi et comment s’en sortir avec beaucoup d’humour et une véritable expérience.

 

Ensuite, j’aime beaucoup la chaine La vie est Belle YT de Bénédicte, des routines de ménages, des conseils pour se désencombrer prodiguer avec beaucoup de douceur et de bienveillance.

 

Enfin, Isabelle et sa chaine Cook with me proposent toute une série de vidéos sur le rangement, l’organisation et l’entretien de la cuisine (entre autres). Ici aussi, beaucoup de bon sens et l’expertise d’une femme au foyer qui tient sa maison d’une main de maître sans s’ériger en modèle pour autant car comme elle le dit souvent, personne n’est parfait.

On termine avec un peu de lecture avec l’ouvrage Cuisine pas bête pour ma planète, Choix alimentaires, modes de cuisson, gestion des déchets, astuces nettoyage, recettes faciles… de Sarah Bienaimé. Tout est dit dans le titre et le sous-titre. Les sujets peuvent sembler très sérieux mais c’est traité avec beaucoup d’humour et de légèreté. Quelques chiffres pour prendre conscience des enjeux mais surtout beaucoup de pragmatisme pour tout à chacun avec ses moyens et sa volonté puisse faire un peu pour l’avenir de notre planète.

Note sur les photos :
Les photos que j’ai prises pour illustrer cet article ne sont pas très esthétiques mais elles reflètent l’état « constant » de ma cuisine. J’aurai pu choisir des photos plus glamour sur Internet mais comme il s’agit avant tout d’un retour d’expérience, il me semblait normal de l’illustrer avec mes propres clichés.

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